Auteur/autrice : Dominique

  • 1215 – Raymond II de Roquefeuil intervient au IVème concile de Latran

    papeinnocent3

    En 1215, il y a exactement 800 ans, Raymond II de Roquefeuil intervenait au quatrième concile de Latran pour plaider la cause de Raymond Roger Trencavel, dépossédé de ses biens par Simon de Montfort. 

    La généalogie des seigneurs de Roquefeuil, d’abord chez une branche des Anduze, puis chez les Pujols de Blanquefort, n’est établie de manière continue que depuis le mariage vers 1129 (ou 1140) d’Adélaïs de Roquefeuil avec Bertrand d’Anduze, dont le fils Raymond Ier épousa en 1169 Guillemette de Montpellier. C’est peu après, il y a exactement 800 ans, qu’en 1215 se tenait le quatrième concile du Latran. Avant de relater l’intervention de Raymond II de Roquefeuil, il y a lieu de rappeler l’importance considérable pour les familles, et pour la nôtre en particulier, de ce concile.

    Reconnaissance du mariage comme sacrement

    D’un point de vue théologique le concile reconnaissait le mariage comme un sacrement (le septième). C’est-à-dire : « un signe sensible et efficace de la grâce, institué par le Christ et confié à l’Église, par lequel nous est donnée la vie divine. » Ce n’était pas reconnaitre que le mariage était indissoluble car cela avait été clairement déclaré par le Christ et constamment rappelé par la suite ; mais c’était reconnaître officiellement que le mariage était un lieu de sanctification à l’aide de la grâce. Jusque-là, certains théologiens (mais pas tous(1)) considéraient que c’était seulement le lieu où on pouvait commettre l’acte de chair sans pêcher, une sorte de pis-aller par rapport à la vie religieuse. Les Cathares, dont l’hérésie était combattue par le concile, portaient un grand mépris au mariage. Lors du concile, l’Église reconnaissait une grande dignité au mariage et par là à la famille légitime. Cette reconnaissance de la sainteté du mariage rendait plus facile la possibilité de relever un religieux de ses vœux, car le mariage lui ouvrait une autre manière de se sanctifier, même si les deux vocations conservaient leur différence de niveau(2). Ce n’est donc pas un hasard si la tradition Roquefeuil du moine relevé de ses vœux est généralement située après ce concile.

    Réduction du nombre des degrés de parenté prohibés

    Du point de vue pastoral, le concile définit le degré prohibé pour un mariage au quatrième degré, c’est-à-dire que les époux ne devaient pas avoir de trisaïeul commun, qu’ils ne devaient pas être cousins issus-issus de germains. Cela peut paraître lointain mais, jusque-là, à la suite d’une mauvaise interprétation d’un passage de l’écriture, il ne fallait pas être cousin au septième degré(3). C’est-à-dire descendre d’un des parents de l’arrière grand-père (ou de l’arrière-grand-mère) de l’arrière grand-père (ou de l’arrière-grand-mère) de son conjoint ! Personne ne peut répéter cette règle sans effort !

    À titre d’exemple, en prenant les trois alliances Roquefeuil-Roquefeuil du XXème siècle, aucune n’aurait pu avoir lieu sans dispense. Jean de Roquefeuil Montpeyroux était cousin au sixième degré de Guillemette de Roquefeuil (Auvergne) ; Louis de Roquefeuil Montpeyroux au cinquième degré de Ghislaine de Roquefeuil Montpeyroux. Si Alain de Roquefeuil Cahuzac était cousin au quatorzième degré, du côté Roquefeuil, de Mireille de Roquefeuil Montpeyroux, il l’était au sixième par les Pontbriand (mais le savaient-ils ?).

    C’était tellement loin qu’à la campagne presque tout le monde devait être dans ce cas (mais sans en avoir conscience faute de registre d’état civil). Les princes et les grands seigneurs l’étaient aussi, sauf quelques-uns qui s’étaient mariés fort loin, pour respecter la règle. Le roi Henri Ier avait dû épouser la russe Anne de Kiev. Un seigneur de Montpellier une princesse grecque, etc. C’était la mondialisation avant l’heure !

    Mais si l’un d’entre eux voulait répudier sa femme, il commandait des recherches généalogiques et, la plupart du temps, arrivait à ses fins. Parfois la parenté était découverte par une personne plus ou moins bien intentionnée et les époux, même s’ils n’en avaient pas l’intention, devaient se séparer. C’était aussi soumettre à l’autorité du pape, qui pouvait toujours accorder des dispenses, presque toutes les alliances.

    En revenant à des règles plus simples et en facilitant les possibilités d’obtenir des dérogations, l’Église stabilisait les familles. Elle permettait ainsi de se marier dans son voisinage. Ce qui n’était pas sans incidence sur les patrimoines familiaux. Par les jeux des dots et des héritages, certains auraient dû sans cette nouvelle règle s’établir très loin de chez eux, rompre avec leurs attaches familiales, et adopter des mœurs nouvelles.

    De Jean de Roquefeuil, marié en 1495, à Jacques-Aymar, dernier marquis du Bousquet avant la Révolution, aucun chef de cette branche n’aurait pu épouser sa femme, sans dispense. Augustin de Roquefeuil, dernier marquis de Cahuzac, avant la Révolution, aurait certes pu épouser sa deuxième femme la champenoise Louise Gabrielle de Flavigny, mais pas sa première femme, la tarnaise Catherine de Verdun. En remontant jusqu’à Tristan, marié en 1500 à Jeanne de Lémozi, sur neuf alliances, trois seulement auraient été possibles sans dispense ! La vie de la famille en aurait été profondément modifiée !

    L’intervention fameuse de Raymond II de Roquefeuil

    Raymond II de Roquefeuil fut entendu, bien que laïc, au quatrième concile du Latran en 1215. Voici les circonstances. Raymond Roger Trencavel était le plus puissant seigneur du Midi après le comte de Toulouse. Il était vicomte d’Albi, d’Ambialet et de Béziers, et vicomte de Carcassonne et de Razès. Bien qu’il ne fût pas cathare, il protégeait ceux-ci.

    Lors de la croisade, il fut fait prisonnier par Simon de Montfort et mourut dans un cachot en 1209, laissant un fils Raymond Trencavel. Simon s’empara de tous ses biens, déshéritant ainsi le jeune Raymond. Or Raymond Roger avait épousé Agnès de Montpellier, cousine germaine de Raymond II de Roquefeuil. Celui-ci entreprit de défendre son neveu, bien évidemment innocent de tout ce que les croisés reprochaient à son père, puisqu’il n’avait que cinq ans au moment des faits.

    Il alla donc plaider vigoureusement la cause de Raymond Trencavel devant le concile du Latran en 1215, comme le rapporte le texte suivant(4) :

     »Ramon de Rocafolhs a en aut escridat :

    « Senher dreitz apostolis, merce e pietat

    Aias d’un effan orfe, jovenet ichilat,

    Filh de l’onrat vescomte que an mort li crozat,

    En Simos de Montfort cant hom li ac lhivrat.

    Ladoncs baichec Paratges lo tertz o la mitat,

    E cant el pren martiri a tort et a pecat.

    E no as en ta cort cardenal ni abat

    Agues milhor crezensa a li crestiandat.

    E pois es mort lo paire el filh dezeretat,

    Senher, ret li la terra, garda ta dignitat !

    E si no lailh vols rendre, Dieus t’en do aital grad

    Que sus la tua arma aias lo sieu pecat !

    E si no la hi lhivras en breu jorn assignat,

    Eu te clami la terra el dreg e la eretat

    Al dia del judici on tuit serem jutjat !

    Baros, » ditz l’us a l’autre,  »mot l’agent encolpat.

    Amix » ditz l’apostolis,  »jaer be emendat »« 

     

    Ce qui signifie :

    « Raymond de Roquefeuil s’est écrié :  

    « Seigneur, vrai père, aie merci d’un enfant orphelin d’âge tendre et banni.

    Aie merci pour le fils de l’honorable comte de Béziers, tué par les croisés et par Simon de Montfort quand on le lui livra.

    Car de tiers ou de moitié ont décliné noblesse et courtoisie, depuis que, sans tort et sans péché un tel baron a été martyrisé.

    Car il n’y a pas dans la Cour, cardinal ou abbé dont la croyance soit plus chrétienne que la sienne.

    Mais puisqu’il est mort, à son fils déshérité rends sa terre et sauve ainsi ton honneur…

    Rends lui tout à jour fixe et prochain, sinon je te demanderai tout : la terre, le droit, et l’héritage au jour du jugement dernier, ce jour où tu seras jugé … »

    – « Barons » se dit-on l’un à l’autre  »il a bien présenté sa revendication ».

    – « Ami » dit le pape, « justice sera faite. » »

    Nonobstant son intervention, les croisés réussirent à faire excommunier Raymond de Roquefeuil dès 1215. Il ne fut relevé de cette excommunication qu’en 1226. Raymond Trencavel, quant à lui, ne réussit à reprendre Carcassonne que quelques années de 1216 à 1226. Il échoua de peu en 1240, et il renonça à ses biens en 1246. Il partit à la croisade et mourut peu après 1263. Il n’en reste pas moins que l’intervention de Raymond II au concile non seulement attestait l’importance de sa situation dans la société féodale mais était une des actions les plus glorieuses jamais réalisée par un Roquefeuil : défendre, envers et contre tous un orphelin, et cela en pure conformité avec  l’idéal chevaleresque.

     

    Fulcran de Roquefeuil

    sceauraymond2trencavel

    Notes :

    1-La bonté du mariage avait été défendu auparavant par les conciles suivants : Gangres (340) Tolède (Vème s) Braga (541) Toulouse, Latran II…

    2-La « vocation » au mariage est naturelle, tandis que la Vocation à la vie religieuse est un appel spécifique et surnaturel.

    3-Cette règle avait été retenue par le Concile de Rome de 1063.

    4- « La chanson de la croisade contre les Albigeois, commencée par Guillaume de Tudèle et continuée par un poète anonyme » par Paul Meyer Tomes 1 et 2.

     

     

  • Chartrier Roquefeuil établi vers 1711 par le cabinet d’Hozier

     

    Le Chartrier Roquefeuil  semble avoir été établi vers 1711 par le cabinet d’Hozier pour servir aux preuves de Jacques-Joseph de Roquefeuil lors de son entrée aux pages du Roi.

    Ce précieux document a fait l’objet d’un don des aînés de la branche de Roquefeuil-Montpeyroux au fonds d’archives de l’association « Maison de Roquefeuil-Blanquefort ».

    L’original peut être consulté par tout membre de l’association sur demande formulée auprès du président-délégué de l’association.

     

    Page 1:

    Généalogie de l’illustre Maison de Roquefeuil, ses alliances avec les Roys de France, les ducs de Bourgogne et les princes de la Maison de Bourbon comme aussi avec les Empereurs de Constantinople, les comtes de Toulouse, ceux de Rodez et plusieurs autres. Finalement, son origine du chef paternel des seigneurs d’Anduze, marquis de Gothie et ducs de Septimanie.


    Page 2:

    Pour éviter la confusion de cette généalogie, il faut la réduire en trois articles séparés. Le premier sera pour expliquer l’origine de la Maison de Roquefeuil de son chef paternel qui sera celle de la Maison d’Anduze. Le nom de Roquefeuil n’ayant été pris que par Bertrand d’Anduze, époux d’Adélaïs de Roquefeuil, héritière qui l’obligea à prendre son nom et ses armes.

    Le second sera pour expliquer ses alliances avec la Maison de France par Isabeau de Roquefeuil mariée avec Hugues III comte de Rodez, comme aussi celle qu’elle a avec les ducs de Bourgogne par Guillemette de Montpellier, épouse de Raymond de Roquefeuil.

    La troisième sera la filiation des descendants de Raymond de Roquefeuil IIème du nom de ce qu’on en sait de plus remarquable qui regarde seulement les deux branches dont l’une a fini en Marie Gilberte, héritière de Roquefeuil, mariée en premières noces à Gaspard de Coligny, marquis d’Orne et en seconde noces avec Claude,  marquis d’Alègre. De ce premier mariage elle a eu une fille nommée Marie-Isabelle de Coligny, mariée à Noël Eléonor Palatin de Dio, marquis de Montperroux à qui elle a apporté les biens de la Maison de Roquefeuil. La deuxième branche de la Maison qui subsiste encore est établie en Rouergue sous le nom des seigneurs du Bousquet, Padiès, Cocural, Brennac.


    Page 3:

    Généalogie

    des anciens seigneurs d’Anduze desquels Raymond de Roquefeuil Ier du nom de la seconde race de la Maison de Roquefeuil descend par Bertrand d’Anduze son père et Adalaÿs de Roquefeuil sa mère.

    Il est bien prouvé que Raymond de Roquefeuil Ier du nom de la deuxième race de Roquefeuil était fils de Bertrand d’Anduze et d’Adalaÿs de Roquefeuil par le contrat de mariage dudit Raymond de 1169 et par la quittance que ledit Raymond de Roquefeuil époux de Guillemette de Montpellier, fille de Mathilde (ndlr: de Bourgogne )


    Page 4:

    duchesse fit au mois d’octobre 1200.

    Bertrand d’Anduze était époux d’Adalaÿs de Roquefeuil ainsi qu’il se vérifie par deux actes qui sont dans les archives de la Trésorerie de Montauban des années 1182 et 1184 qui la qualifie veuve en langue vulgaire que fit moulier de Bertrand d’Anduze. Il était frère de Bernard VIII d’Anduze, de Sonne et autres places qui a fait diverses branches.

    Bernard d’Anduze, dit Vieil, VIIème du nom, signa en 1125 le traité de paix entre le comte de Toulouse et le comte de Barcelone ainsi qu’il se vérifie à la page 263 dans l’Histoire des comtes de Toulouse de Catel.

    En 1129 fut présent au contrat de mariage de Guillaume seigneur de Montpellier avec Sibille. Il était frère de Remond d’Anduze qui du chef d’Armangarde sa femme fut vicomte de Narbonne mort sans enfants.

    Bernard, seigneur d’Anduze, Vème du


    Page 5:

    nom était frère utérin de Guillaume seigneur de Montpellier fils d’Hermangarde ainsi qu’il se vérifie par le testament de (…??…illisible: NDLR) par lequel il lui fait un don et a ses enfants qui est au feuillet 91 du Ier tome des seigneurs de Montpellier ci-devant cité et au feuillet 243 du registre coté lettre D des archives de l’évêché de Montpellier.

    Il était frère de Bertrand d’Anduze ainsi qu’il en a fait foi au feuillet 2eme (…??…illisible: NDLR) cartulaire de Saint Guilhem le Désert.

    Raymond seigneur d’Anduze, fils d’Adalaÿs de Mandagot époux d’Ermengarde donna en 1077, conjointement avec Bernard son père, marquis, et Adalaÿs sa mère ce qu’ils avaient dépendant du chateau de Meirueis à l’abbaye de Selan dont l’acte est au feuillet 62. 2ème d’un cartulaire de Saint Guilhem le Désert.

    Bernard IVème du nom fils d’Eustorga époux d’Adalaÿs de Mandagot, marquis, chef de la branche d’Anduze dans laquelle le nom de Bernard a été comme héréditaire en mémoire de Bernard, duc de Septimanie et de Bernard, marquis de Gothie, desquels ils sont issus, nom qui fut donné même à la monnaie que les


    Page 6:

    seigneurs de cette Maison ont fait battre qu’on appelait « Bernardoise », qui faisaient des statuts et coutumes entre autres pour la ville d’Anduze et pays Anduzien en l’année 1217, que Bernard fit des constitutions pour l’administration de la Justice, rémissions des crimes, successions entre parents, testaments,  mariages et que dans les choses où ils n’en auraient pas que ce droit écrit serait observé, ce que les seigneurs ordinaires n’auraient eu garde de faire, et ce que celui-ci n’aurait pas fait s’il n’eut eu ce droit par ses ancêtres qui étaient souverains, scellées de son sceau en plomb représenté à cheval, armé, son casque en tête, tenant une épée nue et haute à la main avec son nom autour dudit sceau, ainsi qu’il en fit en 1216 pour Alès qui sont dans les archives de ladite Ville, dans le livre de ses statuts, et de même à Sommières.

    Bernard, fils de Garsinde, seigneur d’Anduze, de Sauve, d’Uzès et de Sommières, époux d’Eustorge, fille de Raymond vicomte de Narbonne.


    Page 7:

    et de Ricarde sa femme.

    Rendit hommage pour une place appelée Isguarn au vicomté de Narbonne ainsi que Mr. Catalan fait foi aux feuillet 580, liure 14 de ses mémoires de l’Histoire du Languedoc.

    Il était frère de Frotaim, évêque de Nîmes en 1010.

    De Frodolus, évêque du Puy ainsi que de Mrs de Sainte Marte et Catel dans son livre des évêques du Puy le rapportent de Géraldus, évêque de Nîmes qui succéda à Frotaim son frêre.

    D’Almerade et de Remond.

    Bernard, marquis d’Anduze IIIème du nom, seigneur de Sauve, d’Uzès et de Sommières, époux de Gersinde, fils de Pons, comte de Toulouse vivait en 980.

    En 1024, conjointement avec Gersinde, sa femme, et leurs enfants, évêques susnommés, firent don à l’évêché de Nîmes en 1024 qui est dans un livre intitulé Liber


    Page 8:

    honorum capituli.

    Il fut aussi marié avec Ermengarde qui devait être sa première femme suivant un acte d’un cartulaire de Saint Guilhem le Désert au feuillet 62.

    Il était frère d’Estienne Bermond seigneur de Sommières et de Pierre, seigneur d’Uzès.

    Bermond, seigneur d’Anduze, de Sauve, de Sommières et d’Uzès est signé en qualité de témoin dans le cartulaire de l’église de Nîmes intitulé comme est dit ci-dessus de l’année 941.

    Il bâtit à Uzès la tour qui y subsiste, appelée « Bermonde ». Celle qui est encore à Sommières qui porte le même nom. De lui sont issues trois branches.

    La première est celle des seigneurs d’Anduze et de Sauve par Bernard.

    La 2ème, celle d’Uzès par Pierre


    Page 9:

    La 3ème, celle des seigneurs de Sommières par Etienne Bermond.

    Pierre, seigneur d’Anduze, de Sauve, d’Uzès et de Sommières vivait en 980.

    Il en est fait mention dans la donation du château de Saint Martial faite par Bernard, évêque de Nîmes, qui y est dénommé « frater Petri Anduciamancis Domini » du 25 février de l’année VII de Louis Doutremur l’an 943 qui est dans ledit cartulaire « Liber Honorum Capituli ».

    Il est fait mention de ce bernard, évêque de Nîmes à la page 980 du livre des mémoires de l’histoire du Languedoc de Catel et dans celle des évêques de France de Sainte Marthe.

    Il y a méprise dans la date de la donation en ce que Bernard qui la fit était mort en 956


    Page 10:

    Mais il n’a pas été le seul de sa maison évêque de Nîmes car il est remarqué par des mémoires que depuis Bernard qui l’était en 940 jusques en 1112, l’évêché de Nîmes avait toujours été dans la maison d’Anduze.

    Bernard IIème du nom, marquis de Gothie, comte d’Autun, naquit à Uzès le 21 avril 841 selon le manuel de Duodena sa mère.

    Il est fait grande mention de sa valeur à la page 56 de l’Histoire des comtes de Toulouse de Castel ainsi que dans les annales de Saint Bertin et dans l’Histoire de France d’Aymon et continue tant sur les mouvements qu’il se donna en 878 et 879 pour la vengeance de la mort de son père.

    Il eu de si puissants


    Page 11:

    ennemis qu’il perdit Autun et tout ce qu’il avait en Bourgogne. Ses descendants ont conservé en Septimanie de ce qu’il y avait avec le droit de souverain dans les places qui leur ont resté, comme il se vérifie par les statuts du pays Anduzien, d’Alès et de Sommières en ce qu’ils y faisaient battre monnaie et, par leurs alliances qui répondent à la grandeur de leur extraction.

    Bernard Ier du nom, duc de Septimanie, fils de Saint Guillaume épousa Duodana le  24 juin 823 ainsi qu’il se vérifie par le manuel qu’elle adressa à Guillaume IIème du nom, comte de Toulouse, son fils aîné, intitulé « Liber manuelis Duidena quem ad filium suum transmisse vovilletnum » dont Catel fait foi aux pages 57 et 61 de l’Histoire


    Page 12:

    des comtes de Toulouse qui est dans la bibliothèque des religieux de l’ordre de Saint Benoît à l’abbaye de la Grâce près de Carcassonne et dont du Tillet dans son recueil des Roys de France fait aussi foy.

    Saint Guillaume, comte de Toulouse, Ier du nom a fondé l’abbaye de Gellone appelée monasterium Gellonense et à présent de son nom Saint Guilhem le désert en mémoire de sa sainteté après des victoires signalées qu’il remporta. Il alla déposer ses armes sur le tombeau de Saint Julien dans l’église de Brioude et s’alla retirer en 806 dans le monastère de Gellone dans dans le diocèse de Lodève où il se fit religieux et y finit saintement ses jours et


    Page 13:

    son corps y gît.

    L’histoire sommaire de Sausa (?) est rapportée à la page 47 du livre I des comtes de Toulouse de Catel.

    La fondation de ladite abbaye est du 19 des calendes (de janvier ?) et de l’année 34 du règne de Charlemagne et la 4ème de son empire dans laquelle il est fait mention de ses parents et, entre autres de Bernard son fils. L’original en parchemin est au monastère de Saint Guilhem le Désert.

    Cet acte vérifie l’erreur qui est à la page 10 du 4ème volume de Moreri, imprimé en 1699, en ce qu’il y est dit à l’article de Narbonne (Guaimeri ?) investi par Charlemagne du titre de comte de Narbonne, était père de Guillaume, qui le fut aussi, qui est celui qui a fondé l’abbaye


    Page 14:

    de Saint Guilhem le Désert.

    Cet acte porte que Théodoric était père de guillaume et qu’Aldane était sa mère.

    Et la page 571 du même volume de Moreri confirme après Ezinard  la charte de Sainte Marie Dorbieu.

    Et l’Histoire des saints de l’ordre de Saint Benoît à l’article de Théodoric que Théodoric, comte d’Autun et duc de Bourgogne était son père et Aldane sa mère.


    Page 15:

    Preuve que la seconde race de la Maison de Roquefeuil descend par Mahaut de Bourgogne, mère de Guillemette de Montpellier épouse de Raymond de Roquefeuil Ier du nom, de Robert de France duc de Bourgogne fils puiné de Robert, roi de France qui l’était du roi Hugues Capet

    suivant la généalogie rapportée dans l’Histoire de la Maison d’Auvergne de Justel à la page 224.

    Dans celle de la Maison de France par Sainte Marthe de la 3ème édition.

    Dans celle des deux de Bourgogne de Duchesne.

    Dans celle de David Blondel intitulé « Genealogia Franceia », de Moreri.

    Par ou se vérifie l’erreur que Marie de Montpellier épouse Pierre roi d’Arago fut fille de la duchesse Mathilde, fille d’Emmanuel empereur de Constantinople suivant ce qui est contenu dans le 4ème livre des mémoires de l’Histoire du Languedoc de Catel ou ou il est dit à la page 663 et 668 que le fils de Guillaume de Montpellier fils de Sibille fur marié avec la duchesse Mathilde, fille de Manuel Empereur de Constatinople car il est certain que cette Mathilde duchesse était fille de Hugues II duc de Bourgogne, de la Maison Royale de France, ainsi qu’il se prouve encore par la quittance  que tant Raymond de Roquefeuil que Guillemette de Montpellier son épouse firent à Guillaume seigneur de Montpellier, IVème du nom, fils de Mathilde duchesse au mois d’octobre 1200 au feuillet 81 du registre de l’Hôtel de Ville de Montpellier.

    Chapitre IX page 224 de l’Histoire de la Maison d’Auvergne:


     

    Page 16:

    Robert de France, Ier du nom, duc de Bourgogne,

    fils de Robert, roy de France. Helix de Semur son épouse.

    Henry de Bourgogne, mort avant son père Robert. Sibille de Bourgogne

    fille de Remont comte de Bourgogne et d’Helix de Normandie.

    Eudes Ier Duc de Bourgogne. Mathilde.

    Hugues IIème du nom, duc de Bourgogne. Mathilde de Turenne.

    Mahaut de Bourgogne mariée à Guillaume, seigneur de Montpellier.

    Guillemette de Montpellier mariée à Raymond de Roquefeuil Ier du nom,

    fils de Bertrand d’Anduze et d’Adalaÿs de Roquefeuil,

    seigneur de la deuxième race de la Maison de Roquefeuil.

  • Roquefeuil Infos n°49 – Décembre 2015.

    Cliquer sur la couverture pour feuilleter le document:

  • Roquefeuil Infos n°48 – Juin 2015.

    Cliquer sur la couverture pour feuilleter le document:

  • 18 mai 2015 à Bonaguil : le pont levis des loges est restauré!

     

    Le château de Bonaguil comptait au temps de Bérenger de Roquefeuil, son constructeur, pas moins de 7 ponts-levis! Deux d’entre eux contrôlaient notamment les accès sur le fossé intérieur nord : le plus important, celui de la cour d’honneur, et un second, piétonnier, celui de la cour des loges. Ce dernier desservait les parties domestiques (« les loges ») et la basse-cour.Au XVIIIème siècle, les Roquefeuil de la branche aînée s’éteignent et la nouvelle propriétaire, Marguerite de Fumel, remplace les ponts-levis pas des ponts-dormants en pierre ou en bois.  C’est ainsi que disparait avec les autres, le pont-levis de la cour des loges.Dans les années 60, un tablier en béton armé est réalisé pour assurer la sécurité  des visiteurs et des guides.

    Le Pont dormant au tablier de béton menant à la basse cour de Bonaguil dans son état avant le début de restauration du Pont Levis.
    Le Pont dormant au tablier de béton menant à la basse cour de Bonaguil dans son état avant le début de restauration du Pont Levis.

    C’est en 2013 que le directeur M. Patrick Arassus et l’équipe de conservation du chateau de Bonaguil met au point un projet ambitieux : restituer au château le pont-levis de la cour des loges en étroite collaboration avec les élèves et les enseignants du collège Crochepierre et du lycée professionnel Couffignal de Villeneuve-sur-Lot. Le projet était d’ampleur:

    • charpente et menuiserie (env. 23 000€) : création du tablier (partie mobile), de la flèche et de son contrepoids, des ouvrages en fer forgé, traitement du bois, serrurerie (…) puis pose de chaque élément.
    • maçonnerie (env. 20 000€) : démolition du tablier actuel en béton armé, adaptation de la maçonnerie dont la dépose et la repose de pierres de taille, rehaussement de mur, complément de dallage …

    Pour boucler ce budget d’un coût total d’environ 43 000 € HT, la très dynamique « Association des Amis de Bonaguil» dirigée par son président, M. Gérard Legros a lancé un appel à des mécènes et à la générosité du public.

    • Côté mécènes, beaucoup ont répondu présent. Outre la Ville de Fumel, un des mécènes (8000€) fut notamment le Crédit Agricole sur la décision de Mme Christine Campi, présidente du conseil d’administration du Fond d’initiative du Crédit agricole et de M. Patrick Groleau directeur de l’agence Crédit agricole de Fumel.
    • Côté public, L’association des Amis de Bonaguil a lancé avec succès, en juin 2014, une collecte de dons sur le site My Major Company (http://v4.mymajorcompany.com/un-pont-levis-pour-bonaguil). Les donateurs, qui ont versé en moyenne 35 €, sont pour la plupart résidents en Aquitaine. Les amis de Bonaguil avaient imaginé, pour l’occasion, un barême amusant et incitatif pour qualifer les contributeurs. En fonction de votre versement vous pouviez être:
      • Écuyer de Bonaguil : 10 € donnant droit à des sincères remerciements sur Facebook et sur le site Internet du Château.
      • Grand-Écuyer de Bonaguil: 20 € donnant droit à des sincères remerciements sur Facebook et sur le site Internet du château + votre certificat de mécène.
      • Chevalier de Bonaguil: 50 € donnant droit à des  sincères remerciements sur Facebook et sur le site Internet du château + votre certificat de mécène + 2 entrées au château.
      • Baron de Bonaguil: 75 € donnant droit à des sincères remerciements sur Facebook et sur le site Internet du château + votre certificat de mécène + 2 entrées au château pour une visite VIP.
      • Comte de Bonaguil: 100 €. Contreparties précédentes + invitation à la cérémonie d’inauguration du pont-levis.
      • Marquis de Bonaguil: 200 €. Contreparties précédentes + le blason du château + votre nom cité lors de la cérémonie d’inauguration.
      • Duc de Bonaguil: 500 €. Contreparties précédentes + accès au buffet dégustation de la soirée + Pass « ambassadeur de Bonaguil » pour 5 ans.
      • Prince de Bonaguil: 1 000 €. Contreparties précédentes + votre nom sur la plaque du pont-levis.

    Pour sa part, l’association familiale « Maison de Roquefeuil-Blanquefort » a décidé, lors de sa dernière assemblée générale, de verser pour ce projet aux amis de Bonaguil une aide de 500€. L’association est donc officiellement reconnue « duc de Bonaguil »!

    L’association  familiale « Maison de Roquefeuil-Blanquefort« , très émue par cette réalisation touchant un haut lieu de son histoire remercie tous les participants et contributeurs pour cette magnifique réussite.

     

    1-Plan-projet Pont levis Bonaguil pour restauration 2015 1-Plan projet de la restauration du Pont-levis des loges du chateau de Bonaguil.

    2-La maquette du Pont levis de Bonaguil
    Une magnifique maquette illustre le projet et contribue à son financement.

    3-Fabrication du pont levis de Bonaguil
    Construction du pont-levis en chêne. Assemblage selon les méthodes de l’époque.

    4-Suppression du Pont dormant de Bonaguil
    Le vieux tablier en ciment des années 1960 est démoli et les piles entièrement restaurées.

    4-Mise en place du bras de levier du Pont-levis
    Le lourd bras de levier est amené sur place et hissé dans son logement.

    5-Premier essais de fonctionnement du pont levis de Bonaguil
    Emotion: premieres essais de bon fonctionnement du nouveau pont-levis.

    6-Derniers préparatifs et ajustements du Pont levis de Bonaguil
    Derniers ajustages après la mise en place du tablier en vieux chène.

    L'équipe des restaurateurs du Pont Levis de Bonaguil
    Une équipe de compagnons valeureuse, justement fière de la belle ouvrage!

    8-Le pont-levis de Bonaguil achevé
    Le pont-levis des loges de Bonaguil enfin achevé!
  • 8 novembre 2014: Bertrand de Roquefeuil propose sa box pour s’offrir un match de basket ou de rugby.

    Hugues Charmet et Bertrand de Roquefeuil
    Levallois-Perret, Hugues Charmet (à gauche) et Bertrand de Roquefeuil ont signé des partenariats avec une vingtaine de clubs français et envisagent de proposer des billets pour assister à des manifestations sportives ayant lieu à l’étranger. (LP/J.B.)

     

     

     

     

    Le coffret cadeau représente bien souvent une bonne idée pour faire plaisir en évitant la faute de goût. La société levalloisienne StadiumBox décline avec succès le concept dans l’univers du sport.

    Créée en 2012 par Hugues Charmet et Bertrand de Roquefeuil, deux jeunes entrepreneurs de Levallois-Perret, StadiumBox permet d’offrir à la personne de son choix deux places pour assister au match de l’une des équipes partenaires.

    « Nous avons d’abord rencontré les dirigeants du Stade Français (NDLR :rugby), de la Fédération française de football et du Paris Levallois Basket, rappelle Hugues Charmet. Notre modèle leur a plu, et nous travaillons aujourd’hui avec une vingtaine de clubs, les plus gros en Ligue 1 de football. En ce qui concerne le rugby, Nous avons également signé avec le Racing-Métro 92, le Stade toulousain et le Montpellier Hérault Rugby. »

    Un prix moyen de 59,90 €

    Avec StadiumBox, Hugues Charmet et Bertrand de Roquefeuil, 32 ans tous les deux, ont trouvé un moyen de développer le marché de la billetterie sportive en se tournant vers un autre public. « Nous avions constaté que les gens voulant acheter des places pour d’autres — amis, famille — ne savaient pas où s’adresser, explique Hugues Charmet. Si la date ne convenait pas, ils ne pouvaient pas procéder à un échange ou se faire rembourser. »

    Leur coffret permet d’éviter ces désagréments, bien souvent rédhibitoires. « Notre solution consiste à proposer un billet open », poursuit le chef d’entreprise. On peut ainsi dénicher la box de son choix dans un magasin culturel ou dans une enseigne de la grande distribution. Sur Internet aussi. « Le prix moyen d’une box se situe à 59,90 € », précise Bertrand de Roquefeuil. Le destinataire n’a ensuite plus qu’à se rendre sur le site de StadiumBox pour arrêter la date à laquelle il ira applaudir les Bleus de Deschamps au Stade de France ou découvrir l’incomparable atmosphère du stade Geoffroy-Guichard à Saint-Etienne.

    Le marché laisse augurer d’intéressantes perspectives pour les deux fondateurs. « Les clubs que nous rencontrons sont très réceptifs. Ils ont compris que la billetterie constitue un levier de croissance pour eux. Aujourd’hui présents sur le créneau du loisir, ils s’ouvrent à celui du cadeau. Un secteur qui souffre moins en de période de crise. »

    StadiumBox peut aussi attirer un nouveau public dans les enceintes sportives. Inspirés par les grands champions, Hugues Charmet et Bertrand de Roquefeuil ne se fixent pas de limites. « Nous avons de jolies perspectives avec d’autres pays comme l’Espagne, le Portugal et l’Italie », sourit Hugues Charmet.

    D’après un article de Jérôme Bernatas pour Le Parisien.

  • 13 décembre 2014: Bérengère de Roquefeuil-Cahuzac (en religion Soeur Marie Madeleine) et les soeurs du Carmel d’Ars réalisent et décorent une chasuble pour le Pape François.

    La chasuble conçue par Bérengère de Roquefeuil est présentée au Pape
    Deux jeunes pélerins présentent au Pape François la magnifique chasuble conçue réalisée et décorée par Bérengère de Roquefeuil (en religion: Soeur Marie-Madeleine du Coeur Eucharistique de Jésus) et les soeurs du Carmel d’Ars. Monseigneur le cardinal Philippe Barbarin, ému, assiste à la scène.

     

    Une délégation de la région Rhône-Alpes comprenant 75 pélerins dont 17 du département de l’Ain a été reçue par le pape françois le samedi 13 décembre 2014 au Vatican.

    Cette rencontre se déroulait dans le cadre de la béatification de Gabriel ROSSET, fondateur du Foyer Notre Dame des Sans Abri de la ville de Lyon.

    Le diacre permanent du diocèse de Belley-Ars (dans l’Ain), et postulateur de la cause, conduisait le groupe accompagné par le cardinal Philippe BARBARIN.

    Le Pape FRANÇOIS devant fêter ce même jour les 45 années de son ordination sacerdotale, la délégation, pour marquer cet anniversaire, décida de lui offir une chasuble rappelant la ville de Lyon. C’est ainsi que le thème de la Vierge Noire de Notre-Dame de Fourvière fut choisi pour décorer la chasuble.

    La création de cette chasuble et de ses motifs d’ornement fut confiée au Carmel d’Ars (paroisse du Saint Curé) et Berengère de Roquefeuil-Cahuzac (en religion: soeur Marie-Madeleine du Coeur Eucharistique de Jésus) fut chargée de la réalisation de l’ouvrage.

    Elle put mener ce travail à bien, en temps et en heure, ce dont elle est très fière, connaissant le destinataire (on le serait à moins)!

  • 23 novembre 2014 – Les maires de Lunéville et d’Allarmont rappellent les 4 mois d’odyssée des 50 petits colons de la paroisse Saint Jacques de Lunéville fin 1944 et rendent hommage à Marie Antoinette Roquefeuil (née Baratchart).

     

    141122 Plaque Allarmont (1)
    Marie Antoinette de Roquefeuil (chevalier de la légion d’honneur pour faits de résistance pendant la seconde guerre mondiale) entourée des maires de Lunéville et d’Allarmont lors de l’inauguration de la plaque commémorative du périple des 50 petits colons de la paroisse Saint Jacques de Lunéville.

     

     

     

    Marie Antoinette Roquefeuil (née Baratchart) et les 4 mois d'odyssée des 50 petits colons de la paroisse Saint Jacques de Lunéville

  • Décembre 2014: Henri de Saint Bon publie « Le Christianisme oriental dans tous ses états ».

    Couverture christianisme oriental dans tous ses états H de Saint Bon

     

     

    Le Christianisme oriental dans tous ses états par Henri de Saint-Bon (Préface de Monseigneur Philippe Brizard)

    « Quoi que l’on dise, l’église est bien née en Orient, sur cette terre entre Égypte et Mésopotamie (…). Notre racine est indiscutablement sémitique. C’est de Jérusalem que, sur l’ordre du Seigneur, cette Église est partie évangéliser toutes les nations. Nous, Occidentaux, nous devons tout à l’Orient. Henri de SAINT-BON nous présente cet Orient (…) pas aussi compliqué qu’on le dit, composé d’Églises aux appellations vénérables. Ces noms évoquent des époques, des cultures, des élans missionnaires impressionnants mais aussi des fractures autant religieuses et dogmatiques que politiques et culturelles » ( extrait tiré de la préface de Mgr Philippe Brizard).

    Le monde occidental redécouvre les Églises orientales à l’heure où elles affrontent de graves défis… Leur vitalité est réelle, leurs églises pleines… Aussi, cet ouvrage tombe-t-il à point : partant des conciles œcuméniques des premiers siècles et regroupant en quatre familles les 42 Églises orientales (Europe Orientale, Proche et Moyen-Orient, Corne de l’Afrique, Inde), il décrit pour chacune d’elles son histoire, ses spécificités, ses succès et ses difficultés, ses liturgies et ses rites, ses relations avec le Saint-Siège, … donnant ainsi un état des lieux, très actuel. Nous recommandons chaudement ce livre remarqué par les meilleurs spécialistes du Moyen Orient.

     

    OLYMPUS DIGITAL CAMERAHenri de Saint Bon (fils J. de Saint Bon et de Jacqueline de Roquefeuil)

    Henri de SAINT-BON, notre cousin est aujourd’hui un éssayiste réputé.

    • Diplômé de l’Ecole Spéciale Militaire de Saint-Cyr et ancien officier supérieur, breveté de l’Enseignement Militaire Supérieur Scientifique et Technique et auditeur au Centre des Hautes Etudes de l’Armement (21e session) (1984-1985), il fut colonel commandant le 7e Régiment de Chasseurs (1986-1988).
    • Il est titulaire d’une Maitrise d’Informatique appliquée à la Gestion des Entreprises (MIAGE – Dauphine), 1976.
    • Il fut Consultant international chez Hay Management Consultants de 1990 à 1998,

    Ouvrages:

    • Catholique / musulman : Je te connais, moi non plus avec Saad KHIARI éd. François-Xavier de Guibert (2006), 2e édition en 2008. 1er prix du prix littéraire de la Saint-Cyrienne
    • L’islam à la lumière de la foi chrétienne (2012) éd. de L’Œuvre
    • Petit Lexique islamo-chrétien (2012) éd. de L’Œuvre
    • Le Christianisme oriental dans tous ses états (2014) éd. Le Livre Ouvert

    Distinctions:

    • Chevalier de la Légion d’Honneur
    • Chevalier avec épées de l’Ordre Souverain de Malte
    • Chevalier de l’Ordre Equestre du Saint Sépulcre de Jérusalem

    Référence du Livre:

    • Broché: 240 pages
    • Editeur : Livre Ouvert (5 décembre 2014)
    • Langue : Français
    • ISBN-10: 2915614865
    • ISBN-13: 978-2915614862
    • Dimensions du produit: 21,6 x 1,3 x 15 cm


    Bouton Commander le livre

  • 30 novembre 2014: Emilion de Roquefeuil brille au bal des débutantes!




    30 novembre 2014-bal-des-debutantes_11 Emilion de Roquefeuil danse avec Melle Emilia Lam de Hongkong

    Emilion de Roquefeuil était le cavalier d’une ravissante débutante 2014: Mademoiselle Emilia Lam de Hongkong.

    vicomte_emilion_de_roquefeuil__alexandra_blancard_de_lery

    Emilion de Roquefeuil danse également avec Mademoiselle Alexandra Blancard de Léry.

    Les cavaliers entourent Ophélie Renouard, organisatrice du Bal

    Les cavaliers du bal des débutantes: Emilion de Roquefeuil est au premier rang et le deuxième en partant de la droite.

    le-Bal-des-Débutantes-edition_2014 (1)

    Les très gracieuses débutantes 2014.

    Le carnet officiel du bal des débutantes mentionne le curriculum de la très gracieuse Eleanor Lam Hong Kong (22 ans):

    « Eleanor a quitté Hong Kong très jeune pour un pensionnat anglais, et elle étudie actuellement la psychologie à l’université de Pepperdine à Los Angeles. Eleanor est la fille de Peter Lam : un producteur et distributeur de films. Il est Président de « Lai Sun Development Company » et « Lai Fung Holdings ». Sa mére Lynn Hsieh, est taïwanaise. Elle fut comédienne et chanteuse. Eleanor tient de sa mère sa force de travail et sa détermination. Eleanor a travaillé plusieurs années pour le « China Candlelight Educational Fund » qui réunit des fonds pour financer l’éducation dans des régions pauvres de la Chine. En plus de son intérêt pour la mode et la Couture, Eleanor est une photographe passionnée. Eleanor porte une somptueuse robe signée Christian Dior Haute Couture. Son cavalier est le Vicomte Emilion de Roquefeuil ».

  • 29 janvier 2015: le capitaine de frégate Guillaume de Roquefeuil est décoré du mérite maritime ivoirien.

    le Capitaine de frégate de Roquefeuil en uniforme de la Marine Ivoirienne

    Le capitaine de frégate Guillaume de Roquefeuil, en uniforme de la marine ivoirienne,

    vient de se faire remettre la croix de chevalier de l’ordre du Mérite Maritime Ivoirien.

     

    Le capitaine de frégate Guillaume de Roquefeuil (en tenue de la Marine Ivoirienne) lors de la remise de la médaille de chevalier du mérite maritime ivoirien qui lui a été décerné par Monsieur Paul Koffi Koffi, le ministre de la défense ivoirien le 29 janvier 2015.

    Cette magnifique médaille vient compléter sa « panoplie » africaine avec celle d’officier de l’ordre du Mono obtenue naguère pour ses services remarqués au Togo.

    Nous lui présentons toutes nos félicitations.

    La médaille du mérite maritime ivoirien

    20150128 PV Mérite Maritime Ivoirien

  • 15 janvier 2015 – Félix le Manager ou l’art du management expliqué par Max de Roquefeuil.

     

    Max de Roquefeuil

    « Je n’arrive pas à concevoir une façon de manager sans affectif ! » affirme Max de Roquefeuil.

    Max de Roquefeuil, directeur général de l’organisme de formation Proméo (en Picardie) vient de publier « Félix le manager », une fiction dans laquelle il dévoile ses astuces pour faciliter la vie de chacun en entreprise.

    « Ce livre, c’est un projet personnel, que j’ai écrit pendant mes vacances, parce que je suis passionné par le management. » nous confie Max de Roquefeuil, le directeur général de Proméo — organisme spécialisé dans la formation des jeunes en alternance et la formation continue des salariés et des dirigeants d’entreprise — en Picardie.

    Notre cousin Max vient de publier, aux éditions Mareuil, son premier ouvrage, « Félix le manager ». Une fiction racontant les découvertes d’un jeune manager qui prend ses fonctions et se trouve confronté à toute une série de situations et de problématiques.

    « Ce n’est pas un livre doctoral sur le management, prévient Max de Roquefeuil. La plupart sont très techniques et l’on n’y comprend rien! Ce livre est plutôt fondé sur mon expérience, des anecdotes que j’ai vécues, des témoignages et les contacts que j’ai au quotidien avec des managers, des formateurs. A Proméo, je dirige une équipe de 500 personnes et je crois avoir accumulé une réelle expérience dans ce domaine. »

    Divisé en dix chapitres thématiques, l’ouvrage recense les écueils que peut rencontrer un manager et chaque partie se conclut par des conseils et astuces pour surmonter ces difficultés.

    « C’est surtout un livre qui s’adresse à tous, et pas seulement aux managers ou chefs d’entreprise, insiste l’auteur. Le management, c’est d’abord une question de bon sens et c’est ce que j’essaye de rappeler. Beaucoup d’experts du sujet considèrent qu’il ne faut pas mêler l’affectif à la conduite d’une entreprise. Pour ma part, je n’arrive pas à concevoir une façon de manager sans affectif! De toute façon, pour moi, le management n’est pas une science exacte, on en apprend chaque jour davantage. »

    Un livre vraiment rafraîchissant pour tous les dirigeants et les managers confirmés, enthousiasmant pour tous les étudiants ou futurs managers et riche d’enseignements pour chaque salarié qui vise une meilleure relation avec son responsable direct.Couverture livre Felix le manager de Max de Roquefeuil

    Références et description de l’ouvrage:

    • Broché: 238 pages
    • Editeur : MAREUIL EDITIONS (15 janvier 2015)
    • Collection : SCIENCES HUMAIN
    • Langue : Français
    • ISBN-10: 2372540009
    • ISBN-13: 978-2372540001
    • Dimensions du livre: 21 x 2 x 11 cm

    Bouton Commander le livre -Felix manager

     

  • Roquefeuil Infos n°47 – Décembre 2014.

    Cliquer sur la couverture pour feuilleter le document:

  • 6 septembre 2014: Henri de Saint Bon est adoubé chevalier de l’Ordre équestre du Saint-Sépulcre de Jérusalem

    Henri de saint Bon chevalier du Saint-Sépulcre 07-09-2014 12-26-46

     

    Henri de Saint Bon (au centre) a été adoubé chevalier de l’Ordre équestre du Saint-Sépulcre de Jérusalem le samedi 6 septembre 2014 en la cathédrale d’Evry par le cardinal O’Brien, Grand’Maître de l’Ordre.