Catégorie : Références

  • Roquefeuil-Infos n°59 – Décembre 2020.

     

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  • 1349 – Arnaud de Roquefeuil, vassal très apprécié du roi Philippe VI de Valois, reçoit en apanage la seigneurie de Vendémian

     

               Vue aérienne de Vendémian, ancien fief de la famille de Roquefeuil

    Article publié par le Midi Libre le 29/01/2021

    Village vigneron depuis le XIIe siècle, Vendémian, appelé alors « Vendimiano », garde l’empreinte de ce passé viticole. Voici donc l’histoire pas ordinaire de ce bourg bâti sur un petit plateau de la vallée d’Aumelas, dont la vie et l’évolution ont été marquées par la présence des rois de Majorque, des Guilhem de Montpellier et de la famille de Roquefeuil possédant également la vicomté d’Aumelas.

    Il s’agit d’un village serré autour de son château, bien à l’abri à l’intérieur de ses remparts, qui va se développer au fil des siècles. La monoculture viticole du XIXe siècle va transformer sa physionomie. En effet, du quadrangulaire durant plusieurs siècles (XIVe-XVIIIe), on va passer à un hameau étoile au XIXe siècle.

                                                  Église de Vendémian.

    Ainsi, durant sept siècles, la vie locale s’est organisée à l’intérieur des remparts et au-delà. L’histoire démontre comment Vendémian laisse apparaître quatre grands cycles de développement : d’abord, le XIIe, avec le château et les maisons serrées tout autour; le village est alors un quadrangulaire de 40 x 40 m. La deuxième étape va se dérouler à la fin du XIVe avec la construction de maisons et d’une fortification autour du noyau primitif. La troisième s’étale du XVIIIe au XIXe, on assiste à la généralisation de la monoculture de la vigne, ce qui donne une apparence nouvelle et, enfin, la dernière phase aura lieu au XIXe. Elle sera marquée par le développement du village au-delà des boulevards.

    Mais revenons au tout début. En 1130, partiellement, les terres de Vendémian sont vendues à Guilhem d’Aumelas. Le bourg reste sous son égide jusqu’en 1197, puis il appartiendra à la maison des Guilhem de Montpellier jusqu’en 1349. Dans la seconde partie du XIVe, Arnaud de Roquefeuil, vassal du roi de France (Philippe VI de Valois), reçoit la seigneurie de Vendémian. À partir de ce moment, les habitants construisent une enceinte de forme carrée flanquée de quatre tours, aménageant deux portes pour la circulation des hommes et des animaux. La porte Notre-Dame témoigne toujours de ce passé. Les remparts sont aménagés de meurtrières.

    Comme les temps ne sont pas sûrs, de nombreux brigands investissent les villages pour piller et tuer. Chaque soir, les hommes se replient et les animaux sont rentrés à l’intérieur de l’enceinte. En même temps, pour les protéger, une sorte de milice locale s’organise. à tour de rôle, les habitants font des rondes nocturnes en arpentant les remparts. À la moindre anomalie, l’alerte est donnée et tous s’arment pour se défendre.

    Vignes et prospérité

    Catherine de Roquefeuil hérite de son père de la baronnie du Pouget en 1395 et, jusqu’à la Révolution, Vendémian dépendra des barons du Pouget. Jusqu’au XVIIIe siècle, la vie s’écoulera ainsi. Petit à petit, les champs sont transformés en vignes, ce qui ouvre sur une certaine prospérité économique du village, comme en témoignent encore aujourd’hui les maisons construites à cette époque. Les viticulteurs se spécialisent alors dans la culture du raisin de table, comme le chasselas et le servant. Cette tradition va se perpétuer jusqu’à nos jours.

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    (Fin de l’article du Midi Libre)

     

    La porte Notre Dame dans les murailles de Vendémian

     

    La grande muraille de Vendémian

    Si une portion de la grande muraille du XIVe siècle se dévoile aisément au flan de la porte Notre-Dame, le visiteur pressé aura sans doute de la peine à repérer les autres éléments de cette enceinte qui dessine un quadrilatère irrégulier d’environ 139 x 122 m et qui comporta six tours et deux portes. Habitué aux murailles dégagées de la Couvertoirade, de La Cavalerie ou de Sainte-Eulalie il sera sans doute un peu plus déconcerté.

    Au lendemain de la Révolution en effet, les Vendémianais ont eu hâte de s’extraire de la carapace médiévale et ont mutilé ce vieux mur érigé par les seigneurs de Roquefeuil. Ils ont percé de toutes parts des ouvertures et surtout, une fois les fossés comblés, ils ont adossé de nouvelles habitations contre la fortification.

                                   Reste des murailles de Vendémian.

    Ainsi ennoyée, on devine plus qu’on ne la voit l’enceinte médiévale du côté extérieur. Mais le visiteur qui prendra le temps de pénétrer dans le vieux village et qui saura suivre l’ancien chemin de ronde découvrira alors des pans entiers de cet ouvrage très bien conservé au Nord-Ouest et au Nord-Est. Ici, le mur atteint jusqu’à 7m. de hauteur, conserve des meurtrières basses et un escalier d’accès au sommet de la courtine. La réfection en cours du revêtement de la rue du « chemin de ronde » facilitera dès lors au visiteur cette plongée dans le Moyen Age.

    Une ruelle de Vendémian telle qu’a dû la connaitre Arnaud de Roquefeuil.
  • 10 juin 2020 – L’hebdomadaire « Point de Vue » consacre un article à la « vie croquée » d’Arnaud de Roquefeuil

     

     

    Pour accéder au fichier .pdf de l’article, cliquer sur le lien: [pdf-embedder url= »http://roquefeuil.net/wp-content/uploads/2020/08/Point-de-vue-n°3747-10-16-juin-2020-article-Arnaud-de-Roquefeuil.pdf » title= »Point de vue n°3747-10-16 juin 2020- article Arnaud de Roquefeuil »]

  • 8 mai 2020 – Hommage à huis clos à François et Arnaud de Roquefeuil parmi d’autres héros Saint-Jamais. 

    Extrait d’un article de Mme Laura Bayoumy paru dans la Gazette de la Manche.

    Nathalie Panassié, maire de la commune déléguée lors du ravivage de la flamme, symbole du souvenir du sacrifice des combattants français et alliés tombés au champ d’honneur depuis la première guerre mondiale.(photo d’archives). (©La Gazette de la Manche)

    Dans son message, la secrétaire d’État a rappelé qu’il y a 75 ans, au printemps 1945, 700 000 hommes, femmes et enfants étaient regroupés dans ce qui restait de l’univers concentrationnaire et génocidaire nazi à l’agonie.

    « La moitié d’entre eux devait périr, notamment dans les marches de la mort, avant que les armées alliées, dans leur progression, n’ouvrent enfin les portes des camps sur une insoutenable vision d’horreur. »

    Hommage

    Chaque année, au monument aux morts de Saint-James (Manche), les participants rappellent la destinée de quelques Saint-Jamais.

    • Marcelle Baudron, née Lecerf. Résistante, elle a été déportée à Ravensbrück pour avoir hébergé un militaire anglais.
    • Germaine Chenu. Résistante, elle a été emprisonnée à Granville pour l’aide apportée aux résistants du groupe Libération Nord.
    • La famille Desgranges. Originaire de La Croix- Avranchin, et ayant habité Saint-Senier-de-Beuvron jusqu’en 1939, la famille Desgranges fut une véritable pépinière de Héros.
    • Édouard et Georges Legourd. Réfractaires et résistants, furent arrêtés Ces deux frères en 1944 et internés au camp de Neuengamme comme François Desgranges.
    • Raymond Potier. Il fut fusillé et son nom figure au pied du monument Saint-Jamais. Résistant, il a été incarcéré, jugé et exécuté à la prison de Saint-Lô, en octobre 1942.
    • François et Arnaud de Roquefeuil. Ils ont été arrêtés en juillet 1944 et eurent la chance d’être rattrapés par les troupes alliées sur le chemin de la Déportation.
    • André Gobin. Il fut prisonnier de guerre. Réfractaire au travail interdit par la Convention de Genève, il a été interné au camp de Kubierzyn Pologne. En 1945, il ne pesait plus que 35 kg et il lui fallut de nombreux mois pour recouvrer ses facultés physiques et intellectuelles. Appartenant à la classe 35, il est resté neuf ans sous les drapeaux.
    • Alice Fouillard épouse Pigeon. À l’âge de 15 ans en août 1944, elle a aidé ses parents à se débarrasser des cadavres de deux Allemands abattus par des déserteurs russes réfugiés dans sa maison. Alice a reçu la Croix du Combattant volontaire de la Résistance de la Carte du Combattant.

    En raison de la crise sanitaire Covid-19, la commune de Saint-James (Manche) n’organisera pas sa commémoration comme elle le fait habituellement. Cependant afin de marquer comme il se doit ce 75e anniversaire célébrant la fin de la Seconde Guerre mondiale, une cérémonie est … prévue au monument aux morts, vendredi 8 mai, à 11 h.
    Y seront présents : deux élus (le maire de la commune nouvelle et de la commune déléguée), un porte-drapeau ainsi qu’un représentant des associations patriotiques. Ces derniers défileront ensuite vers le cimetière pour procéder à un dépôt de gerbe. De leur côté, les citoyens sont invités à marquer un moment de recueillement en l’honneur de toutes les victimes de ce conflit.

  • Carrés d’Hozier – preuves des titres Roquefeuil-Blanquefort

     

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  • Dossiers bleus – Extraits – familles de Roquefeuil d’Anduze, de Versols et de Blanquefort

     

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  • 21 février 1908 – Le journal « Le Gaulois » relate le mariage de Mlle Charlotte Oudinot de Reggio, fille de la duchesse de Reggio, avec le vicomte Pierre de Roquefeuil.

    MARIAGES.

    L’église Saint-Pierre de Chaillot avait peine à contenir la foule nombreuse et élégante qui, hier, s’y trouvait réunie, à l’occasion de la célébration du mariage de Mlle Charlotte Oudinot de Reggio, fille de la duchesse de Reggio, née Cormenin, avec le vicomte Pierre de Roquefeuil, fils du comte de Roquefeuil et de la comtesse, née du Corail.

    Les témoins étaient, pour la mariée le vicomte de Cormenin, son oncle, et le marquis de Quinsonas, son cousin germain; ceux du marié étaient le marquis de Garidel, garde général des forêts, et le vicomte de Sèze, chef- de bataillon au 76° régiment d’infanterie, remplaçant le comte de Sèze, empêché.

    La messe a été dite par le curé-doyen de Saint-Fargeau (Seine-et-Marrie) et la bénédiction nuptiale donnée par l’abbé Cordonnier, vicaire à Neuilly, qui, après une allocution des plus touchantes, a transmis aux nouveaux époux la bénédiction apostolique que le Saint-Père avait daigné leur envoyer. La jeune mariée a été conduite à l’autel par son frère le duc de Reggio.

    Venaient ensuite dans le cortège :

    Vicomte Pierre de Roquefeuil et comtesse de Roquefeuil, sa mère M. de Saint-Martin-Valogne et duchesse de Reggio, comte de Roquefeuil et comtesse de Rouzat, marquis de Quinsonas et Mme de Saint-Martin-Valogne, vicomte de Cormenin et marquise de Quinsonas, comte Paul de Quinsonas et Mlle de Saint-Martin-Valogne; marquis de Garidel-Thoron et Mlle de Roquefeuil-Pradt, vicomte de Sèze et marquis de La Moussaye, M. F. de Roquefeuil et Mlle de La Rochefoucauld, M. Grandet et Mlle de Roquefeuil, M. G. de Roquefeuil et Mlle de Crépy, comte de Roquefeuil-Pradt et comtesse Paul de Quinsonas, marquis de La Rochefontenilles et Mlle de Quinnas, marquis de Chavagnac et comtesse de Castelbajac, baron de Belmiy et Mme de Calmels-Puntis, comte de Castelbajac et vicomtesse de Bagneux, vicomte de Bagneux et comtesse Alfred de La Rochefoucauld, comte Alfred de La Rochefoucauld et vicomtesse de Saint-Matieu, M. Bulla et baronne de Sylvestre, M. de Mérona et Mme Bulla, comte de Waresquiel et Adèle de Sylvestre, comte de Laurençay et Mlle de Cabrières, vicomte de Montrichard et Mme de Mémna, vicomte d’Aurelle Montmorin et Mlle de Cabrières.

    Pendant la cérémonie, la maîtrise, sous la direction de M. Letorey, le distingué maître de chapelle, a exécuté le beau programme suivant :

    Marche des Prêtres dans Alceste de Gluck. Deus Abraham Haendel, Salve regina C.A., Panis angelicus C.A.,  Sedenti in Trono de Gounod, Notre père Düsser, Alleluia du Messie de Haendel, Hymne nuptial Cte de Sèze

    La quête a été faite par Mlle de La Rochefoucauld accompagnée de M. Fulcran de Roquefeuil, et par Mlle de Roquefeuil, au bras de M.Grandet.

    La jeune mariée portait une ravissante toilette en charmeuse très souple avec un grand manteau de vraie dentelle le corsage et l’écharpe également en vraie dentelle. La duchesse de Reggio avait une robe en radium gris un peu fumé, avec broderies en argent vieilli. Mme de Saint-Martin-Valogne portait une robe en mousseline de soie noire, sur fond gris, avec un grand manteau de dentelle noire brodée. Mlle de Saint-Martin avait une robe en radium vert changeant, avec broderies même ton sur dentelle.

    Ces toilettes, d’une ligne simple et nette, et d’un allant parfait; sortaient de chez Ney soeurs.

    Après le très long défilé à la sacristie, où se retrouvaient presque tous les amis et les donateurs que nous avons cités avant-hier à la réception de contrat, la duchesse de Reggio a donné un lunch intime dans ses salons de l’avenue Marceau.

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    Extrait tiré de :

    Titre : Le Gaulois : littéraire et politique

    Éditeur : (Paris)

    Date d’édition : 1908-02-21

    Contributeur : Pène, Henri de (1830-1888). Directeur de publication

    Contributeur : Tarbé des Sablons, Edmond Joseph Louis (1838-1900). Directeur de publication

    Contributeur : Meyer, Arthur (1844-1924). Directeur de publication

    Type : publication en série imprimée

    Langue : Français

    Description : 21 février 1908

    Description : 1908/02/21 (Numéro 11087).

    Description : Note : supplément pages 5 et 6 « Académie Française ».

  • 1956 – Article (Ouest-France?) relatant la blessure en opérations dans le sud algérois du lieutenant Jean-Melchior (I) de Roquefeuil.

     

     

    1956 – Article de Ouest France (?) sur la blessure en opérations de Jean-Melchior de Roquefeuil (cliquer pour agrandir)

     

    Laghouat dans le sud algérois où a été blessé Jean-Melchior (I) de Roquefeuil:

    Laghouat, dans le sud algérois où le lieutenant Jean-Melchior (I) de Roquefeuil a été blessé pendant un assaut de nuit contre des Fellaghas.

     

     

  • Histoire Généalogique des Roquefeuil par Fulcran de Roquefeuil – Récapitulatif des ajouts et corrections à apporter à la première édition.

    Toute première édition d’un ouvrage aussi important que l’Histoire généalogique des Roquefeuil qui compte 548 pages  comporte des coquilles qui ont pu échapper à la vigilance des relecteurs.

    Vous trouverez ci-dessous les corrections et ajouts à effectuer dans chacun de vos exemplaires.

    Attention: L’index reprend la page des têtes de paragraphe.

    • page 30: Troisième ligne Dourbies et non Dourbie.
    • page 65: note 186 : Il se peut aussi que la femme (et non la fille) d’Odillon Guérin ait été Raybaude Pelet d’Alès et non pas Raimbaude d’Anduze.
    • page 96: Dernière ligne Dourbies et non Dourbie.
    • page 97: Ligne 9 Dourbies et non Dourbie.
    • page 125: § IV HUGUES … Remplacer d’Alaïs (alias Taleza) de Gensac, par d’Alaïs (alias Taleza) de Bergerac de Gensac.
    • page 133: La branche de La Salle Padiès est issue de celle de Padiès.
    • page 142: Avant-dernière ligne Remplacer quoiqu’il en soit par quoi qu’il en soit.
    • page 156: § VII ANTOINE-ALEXANDRE … Dourbies et non Dourbie.
    • page 171: MAINTENUES : 4 juillet 1633 Alphonse de ROQUEFEUIL de LA SALLE, par la COUR DES AIDES DE BORDEAUX.
    • page 183: § VI Noble MELCHIOR … Bourguine de Roquefeuil, veuve de noble Jean de Grégoire ( » feu monsieur de Lambrandès « ), à Mende (48) le 22 7 1677 [1 MIEC 095 / 4, vue 54 / 132]. Le contrat de mariage de Jean de Grégoire le 12/08/1619 avec Bourguine de Roquefeuil est passé chez me Brunel de Langogne (48) : ce notaire n’est pas aux AD48.
    • page 194: § XVI JEAN-MELCHIOR … Jean Melchior fut chevalier de la légion d’honneur à 30 ans et non à 27 ans.
    • page 194: Emilia Rampon n’a pas racheté vers 1886 le Bousquet, c’est son père Jean Eugène Rampon qui l’avait fait le 12 octobre 1874.
    • page 194: note 963, les Martinaud habitaient villa Chantilly à Montauban.
    • page 195: § XVI JEAN-MELCHIOR … Bénédicte est née à Parthenay et non à Meknès au Maroc.
    • page 195: § XVII DOMINIQUE… Jean-Melchior (II) est né le 9 décembre 1989 et non 1990. Ajouter : d’où : – 1 Joseph, né le 15 août 2019 à Paris 15e
    • page 195: § XVII DOMINIQUE… Adélaïde, Jean-Melchior, Diane et Henry sont nés à Paris XIV et non XV.
    • page 196: C’est 5 Raymond qui acheta le Bousquet en 1891, le paragraphe concenant le Bousquet doit être décalé vers la droite.
    • page 196: C’est Henri de Lanzac de Montlogis (1866-1930) qui fut propriétaire du Bousquet et non son frère Charles.
    • page 204: § – XVII. HUGUES… 3 Gaétan (Pierre,Marie), né le 6 mars 2020 au Chesnay (Yvelines),et Baptisé le 15 mars suivant à Saint-Cyr-L’École (Yvelines).
    • page 205: lire Boizard et non Boisard
    • page 207: § – XVII. ARNAUD … erreur avec la génération XVII……c’est la génération XVI.
    • page 208: § XVI HENRI … Guillaume alias Guillermo est né à Managua au Nicaragua et non au Honduras.
    • page 208: § – VI. LOUIS … erreur avec la génération VI……c’est la génération XVI.
    • page 208: § – VI. LOUIS … Lucas est né à Clermont-Ferrand, avec un « o ».
    • page 209: § XVII CHRISTOPHE … Christophe et Catherine se sont marié paroisse Saint-Séverin et non Saint-Sernin à Paris.
    • page 215: § XVIII YVES … Yves de Roquefeuil décéda le 6 août 2016 à Paris 10e.
    • page 220: § XVI Jean … Jean de Roquefeuil est chevalier de la Légion d’honneur.
    • page 220: § XVI DOMINIQUE … Dominique décéda le 22 juillet 2019 à Ploubazlanec (Côtes-d’Armor). La cérémonie religieuse a été célébrée le 25 juillet suivant en l’église de Bouère (Mayenne).
    • page 220: § XVI DOMINIQUE … Éric de Roquefeuil Montpeyroux, épousa Marie-Geneviève Gallard, fille d’Émile et de Geneviève Brebion , le 14 août 2019, en l’église Notre-Dame de Bonne Nouvelle de Paimpol (Côtes-d’Armor).
    • page 224: § XVI BERENGER … Sybille et non Sibylle, c’est mariée le 16 mars 1991 et non le 12.
    • page 224: § XVI BÉRENGER … Bérenger ne décéda pas à Nîmes où il fut inhumé mais à Valence (Drôme).
    • page 225: § XVI BERNARD … Hubert Motais de Nabonne décéda le 23 juillet 2019 à Morlaix (Finistère).
    • page 231: Première ligne 6 Béatrix dite Béatrice de Roquefeuil Montpeyroux femme de Pierre de Cugnac, décéda le 29 mars 2019, la cérémonie religieuse eut lieu le 4 avril 2019 en l’église Saint-François-Xavier à Paris 7e.
    • page 231: § XVI JEAN … Jacques Marbehant (et non Marbéhan) décéda le 30 juin 2019.
    • page 231: § XVII GONZAGUE … 2 Nathanaël épousa Clara Goupy, fille de Nicolas et de Christine (née Rogier) 24 août 2019 en l’église Saint-Martin de Gouzon (Creuse).
    • page 233: § XVII CHRISTIAN … lire « Laborde Barbanègre » et « Saugnac-et-Cambran » d’où : 1 Éléonore, née le 10 décembre 2019 à Bordeaux (Gironde).
    • page 234: § XVI BERTRAND … Il décéda décéda le 7 avril 2019, la cérémonie religieuse eut lieu le 12 avril suivant en l’église Saint-Louis-des-Chartrons, Bordeaux Gironde.
    • page 235: § XVII YANN … 2 Clémence de Roquefeuil Montpeyroux épousa Tanneguy de Vautibault, fils de Benoît et de Béatrice (née Roche) le 27 juillet 2019, en l’église Saint-Jean de la Chaîne à Châteaudun (Eure-et-Loir).
    • page 238: § XVI. TRISTAN … 2 (Gracianne….. mariée le 22 avril 1978 à Villers-en-Arthies (et non pas Villiers).
    • page 239: § – XVII. YANN … 1 – Till ( au lieu de Thil ) né le 23 mars 1996 240 § XV Max … Gilles di Pace décéda le 13 août 2013, cérémonie religieuse a été célébrée le 16 août 2019, en l’église Saint-Pierre-ès-Liens de Préchac (Gironde).
    • page 242: § XVII Loïc … 2 (Gilonne) Léonore épousa Victor Gaeremynck, fils de Jean et de Marie Élisabeth (née Gagneux) , le 20 juillet 2019 en l’église Saint-Pierre de La Sauve Majeure (Gironde).
    • page 242: § XVII LOÏC … 3 Émilion épousa Daphné de Lencquesaing, fille d’Emmanuel et de Valérie (née Le Proux de La Rivière), le 7 septembre 2019 en l’église Saint-Pierre de La Sauve Majeure (Gironde).
    • page 242: § XVII LOÏC … 4 Elvire (Aymardine) épousa Paul-Henry Barth, fils d’Antoine et de Béatrice (née Nérot), le 1er juin 2019 en l’église Saint-Pierre de La Sauve Majeure (Gironde).
    • page 277: § XV VICTOR … 2 Marie Amélie, décéda le 5 décembre 2019 278 § XVII HUGUES … Claire épousa Étienne Vulin, fils de Dominique et de Chantal (née Olivier), le 24.
    • page 282: § XIII TOUSSAINT de Roquefeuil avec un « f ». 0.
    • page 290: § XVI JEAN-FRANÇOIS … Il décéda le 16 février 2019 à Saint-Jean-de-Verges (Ariège), la cérémonie religieuse eut lieu le 20 février à Escosse (Ariège).
    • page 297: 2 Alphonse épousa Marguerite de Madailhan (sans Lesparre) fille de Marc et d’Isabeau de Parreau, par contrat du 15 octobre 1629 au château de Couyssels, à Roquedor (Tarn-et-Garonne):. Le mariage devait avoir lieu à l’église Catholique (Maurice Campagne, Histoire de la maison de Madaillan, 1076 à 1900).
    • page 297: 2 Alphonse et sa femme Marguerite de Madailhan furent maintenus nobles par sentence d’élus, confirmée par la cour des aides de Bordeaux le 4 juillet 1633 (AD 33, 2 B 90).
    • page 297: 3 Alphonse (fils de 2 Alphonse) fut marié à Marguerite de Geneste. Ils moururent en 1679 à Cogulot (Dordogne) respectivement les 31 mars et 27 août. Il figure dans un état des instances de la recherche de la noblesse de la cour des aides de Paris entre 1662 et 1664 (AN Z1a 407).
    • page 298: 10 Marc-Antoine reçut du roi le don d’une source d’eau minérale à Cransac (Aveyron) en octobre 1661 (AN O1/11).
    • page 314: § XIV JACQUES (JOSEPH) GERMAIN baptisé Antoine Germain !
    • page 333: § XIV (ALPHONSE) JULIEN (ERNEST) 2 (Jean,Abel) Alphonse décéda à Toulouse (Haute-Garonne) le 6 septembre 1989.
    • page 334: § XIV HENRI … 2 Yvette, elle décéda à Rullac-Saint-Cirq (Aveyron) le 21 septembre 1906.
    • page 334: § XIII (JEAN, BATISTE) FÉLIX 6 (Florine) Germaine elle décéda le 22 juin 1982 à Sète (Hérault).
    • page 335: § XV HENRI … 2 Yoland … il décéda à Centrès (Aveyron) le 4 avril 2014.
    • page 347: § XV LOUIS … 3 Camille Le Bourdon décéda le 27 décembre 2018 au Plessis-Robinson (Hauts-de-Seine), la cérémonie religieuse fut célébrée en l’église Saint-Martin.
    • page 348: XVI OLIVIER … Isabelle Renée-Bazin est décédée le 7 août 2014 et non 1944.
    • page 354: § XV ARNAUD … Arnaud et François son frère furent arrêtés par les Allemands à Boucéel le 9 juillet 1944. Le bombardement d’un pont stoppa le train qui les envoyait en déportation. Ils furent ainsi sauvés de celle-ci. Arnaud à partir de l’âge de 6 ans réalisa une bande dessinée de toute sa vie. Un film en fut tiré pour FR3 Normandie, et devait passer à la demande du président Macron sur la chaîne nationale en novembre 2019.
    • page 355: § XVI PIERRE … 1 Bruno est né le 10 Juillet 1982, et non 1981.
    • page 355: § XVI RÉGIS 1 Ian à un fils Nils né vers 2000.
    • page 358: § XVI ALAIN… Christian Le Cordier de Bigars de La Londe et non Christophe de La Londe.
    • page 365: 6 Odette Branko Prpic décéda le 10 mars 2019.
    • page 389: § XVI HUBERT … il décéda le 21 août 1988, à Valence ( Drôme).
    • page 389: § XV MAXIME … 1 Raymonde (Blanche, Émilienne) née le 26 avril 1913, à Paris 19, Elle décéda le 02 avril 2005, à Bielefeld en Allemagne (Allemagne), mariée le 1er février 1936 à Georges Bérard à Conflans-Sainte-Honorine 2 Jacqueline Marcelle, née le 22 octobre 1916, à Paris 14e, elle épousa le 12 août 1930 Émile Édouard à Conflans-Sainte-Honorine, elle décéda le 02 novembre 2012, à Louveciennes (Yvelines).
    • page 441: avant § XIII Noble JEAN … Claude de Roquefeuil semble bien avoir eu de Marie Cifre, une fille Jeanne, mariée à Pol Roquefeuil en 1616 (cf. 486).
    • page 447: § XIV PIERRE … 2 Louis, décédé le 21 janvier et non le 21 octobre, selon Hubert de Vergnette. Il pourrait s’agir en réalité de Louis, novice à l’abbaye Saint-Sauveur de Lodève, décédé paroisse Saint-Fulcran à Lodève le 2 janvier 1706 (vue 327/485).
    • page 477: Ajouter à la fin Non rattaché Sebastián de Rocafull 1618-1656, mort à Bruxelles, mathématicien cité par Pascal, ingénieur militaire (Source Wikipédia).
    • page 480: Ligne 11 Remplacer quoiqu’il en soit par quoi qu’il en soit.
    • page 486: § II POL… La lecture difficile du contrat de mariage semble bien indiquer que Jeanne de Roquefeuil est la fille naturelle de Claude, et de Marie Cifre, plutôt que Cistre.
    • page 493: § XI PATRICE … 2 Brice Roquefeuil était ambassadeur de France à Panama début 2019.

     

  • Décembre 2018: L’Histoire généalogique des Roquefeuil est parue.

    Décembre 2018: L’Histoire généalogique des Roquefeuil est parue.

     

    Fulcran de Roquefeuil, notre généalogiste familial, vient d’achever la toute première édition de « l’Histoire généalogique des Roquefeuil» !

    C’est un grand évènement et une magnifique réalisation !

    Pour ceux qui n’ont pas déjà acquis ce livre lors de la dernière Assemblée générale de l’Association « Maison de Roquefeuil Blanquefort », mais qui souhaiteraient s’en procurer un ou plusieurs exemplaires, il est encore possible de passer commande! Vous recevrez un mail de l’association « Maison de Roquefeuil-Blanquefort » et un formulaire électronique pour passer commande.

    Note de Lecture :

    La parution de « l’Histoire généalogique des Roquefeuil » est un évènement d’une grande importance pour notre famille, car un tel ouvrage manquait.

    Les généalogies Roquefeuil sont nombreuses mais souvent fort anciennes et toujours partielles. On les trouve, par exemple, dans les collections d’Hozier ou dans les nobiliaires de Barrau, de Jougla, de Courcelles ou de la Chesnay Desbois. Ces livres et documents sont conservés aux archives nationales et à la Bibliothèque Nationale de France. Toutes ces généalogies n’ont pas été assemblées, unifiées et mises à jour avec le temps tandis que notre famille s’est accrue considérablement depuis leur publication.

    Nous connaissions aussi les travaux du colonel Daupeyroux et surtout ceux, très précieux, de l’oncle Bernard de Roquefeuil-Cahuzac (notamment : « La Belle Histoire de Roquefeuil contée à nos enfants » ou « l’Appel de la mer »). Ces ouvrages passionnants sont certainement à classer dans la catégorie des œuvres didactiques sur la « Geste » des Roquefeuil et ils constituent, plus qu’une généalogie, un récit hagiographique sur les personnages les plus remarquables de notre famille.

    Avec l’œuvre de Fulcran, nous entrons dans un registre sensiblement différent : celui de l’impartialité et du caractère quasi scientifique des œuvres historico-généalogiques modernes : le style est d’une sobre neutralité, les sources sont systématiquement citées, le contexte est rappelé et une prudence de bon aloi préside lorsqu’il s’agit de formuler des hypothèses.

    Il est vrai que Fulcran n’en est pas à son coup d’essai : sa culture historique est considérable et sa connaissance des règles nobiliaires de l’ancien régime est reconnue. Il a déjà publié en 2005 « Anoblissement et Révocation de la noblesse aux XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles » (P. du Puy éditeur – ISBN : 2-908003-28-7). Il est l’auteur de nombreux articles dont certains très appréciés parus dans Roquefeuil-Infos. Il est enfin membre de la commission des preuves de l’ANF et à ce titre astreint et accoutumé à la plus grande rigueur.

    Ce livre est un immense travail, une somme : 548 pages de texte au format A4, 25 pages de table des matières, 2475 citations et notes de bas de page et plus de 2800 entrées d’index. C’est tout une vie de labeur qui incorpore, qui plus est, les recherches de tous les généalogistes familiaux et notamment, la préface en témoigne, les travaux et archives de feu l’oncle Édouard de Roquefeuil-Anduze et ceux de M. Guy Gintrand, grand spécialiste des archives d’Aveyron et du Tarn qui maîtrise tous les documents qui s’y trouvent concernant les Roquefeuil.

    L’ouvrage se propose de répertorier toutes les personnes ayant porté le nom de Roquefeuil.

    Il détaille méticuleusement et sans omettre aucun fragment les généalogies des trois grandes familles de Roquefeuil qui se sont succédées :

    • les Roquefeuil « anciens »,
    • les Roquefeuil-Anduze
    • les Roquefeuil-Blanquefort.

    Concernant les Roquefeuil-Anduze, il développe incidemment la généalogie de la Maison d’Anduze qui est du plus grand intérêt historique.

    De même tous les rameaux naturels, qu’ils soient légitimés ou illégitimes, des Roquefeuil-Anduze et des Roquefeuil-Blanquefort (vous serez surpris de constater combien ils sont nombreux !) sont scrupuleusement recensés.

    On trouve enfin des développements sur les familles tierces, parfois très prestigieuses, ayant porté un temps les titres de barons ou marquis de Roquefeuil, ainsi que sur les familles ayant, à la suite d’un mariage avec une Roquefeuil, accolé ce nom à leur propres patronymes et, pour finir, les biographies souvent rocambolesques de quelques réels imposteurs ayant « emprunté » notre nom.

    Certes, de l’aveu même de son auteur, l’ouvrage est une généalogie avec sa rigueur et ses renvois si caractéristiques d’une génération à l’autre. Pourtant, s’il ne constitue pas un roman que l’on lira d’un trait, les développements biographiques sont très nombreux et nous font voyager avec passion d’une époque à l’autre.

    Gloires, honneurs, fortunes mais aussi revers, désastres, disgrâces et vicissitudes familiales sont rapportées avec le talent d’un auteur qui maîtrise ses sources.

    Les ravages des épidémies, des maladies, des guerres, des révolutions rappellent à notre génération, qui n’a connu que la paix et le progrès, combien le sort des familles, même aussi nombreuses que la nôtre, est fragile.

    La Roche Tarpéienne est proche du Capitole. Tel ancêtre brave et talentueux promis au plus brillant avenir est brutalement tué lors d’une campagne. Telle branche fameuse s’éteint faute d’héritiers. L’argent peut manquer soudain aux aînés comme, plus régulièrement, aux cadets et la déchéance guette telle ou telle branche illégitime. Quel maëlstrom que l’histoire de la France et des familles françaises !

    Cet inventaire de la longue chaîne des Roquefeuil qui se sont succédés depuis le Xème siècle est souvent étonnant ou émouvant.

    On retrouve, racontés avec précision, les belles actions des héros familiaux. Citons par exemple

    • Raymond Ier de Roquefeuil-Anduze, s’adressant au Pape Innocent III pour défendre le jeune Vicomte de Béziers,
    • les démêlés de Bérenger avec les bourgeois de Castelnau-Montratier
    • les exploits des Roquefeuil marins,
    • les morts héroïques (entre autres sacrifices !) de Jean-Antoine de Roquefeuil au siège de Metz en 1552, de Charles Balthazar de Roquefeuil Cahuzac lors du débarquement de Quiberon en 1795, d’Innocent-Adrien-Maurice de Roquefeuil, à la tête de son régiment à Augsbourg en 1796, d’Aymar et d’Henri de de Roquefeuil Cahuzac pendant la première guerre mondiale, en 1915 et 1918 et enfin, d’Yves de Roquefeuil à Sétif en 1956 pendant la guerre d’Algérie.

    On découvre aussi des anecdotes ou évènements moins connus :

    • Les exploits de nos cousins Rocafull de la branche de Versols au service du roi d’Aragon et pendant la Reconquista ;
    • La grande beauté et les aventures amoureuses extravagantes de Catherine-Françoise et de Jeanne-Thérèse de Roquefeuil Cahuzac dans les années 1718.

    Mais la plus émouvante, sans doute, est l’anecdote se rapportant à Justin de Roquefeuil, dit « Jules », né en 1859, qui, sans héritage, sans situation et sans argent, vécut sur le pavé de Paris, gagnant sa vie en ouvrant les portières des fiacres. Si misérable qu’il fût, il eut les honneurs de la presse en 1912 pour avoir trouvé un objet de grande valeur et l’avoir porté au commissariat le plus proche, malgré son indigence. Pour cela il mérite non pas d’être caché mais d’être célébré car, même dans le plus cruel revers de fortune, il est resté fidèle à la devise familiale « l’Honneur me reste, il suffit » !

    Un ouvrage extraordinaire que tout Roquefeuil ou allié se doit de posséder !

    Dominique de Roquefeuil et du Bousquet

  • 12 mars 2018 – Les Echos titrent: « Hubert de Roquefeuil, un homme du monde chez NEOVIA ».

    Le très respecté journal économique « Les Echos » a publié le lundi 12 mars 2018 dans sa rubrique « Carnet » un article d’un quart de page sur notre cousin Hubert de Roquefeuil, président du groupe d’alimentation animale NEOVIA (8300 salariés).

  • Chartrier Roquefeuil établi vers 1711 par le cabinet d’Hozier

     

    Le Chartrier Roquefeuil  semble avoir été établi vers 1711 par le cabinet d’Hozier pour servir aux preuves de Jacques-Joseph de Roquefeuil lors de son entrée aux pages du Roi.

    Ce précieux document a fait l’objet d’un don des aînés de la branche de Roquefeuil-Montpeyroux au fonds d’archives de l’association « Maison de Roquefeuil-Blanquefort ».

    L’original peut être consulté par tout membre de l’association sur demande formulée auprès du président-délégué de l’association.

     

    Page 1:

    Généalogie de l’illustre Maison de Roquefeuil, ses alliances avec les Roys de France, les ducs de Bourgogne et les princes de la Maison de Bourbon comme aussi avec les Empereurs de Constantinople, les comtes de Toulouse, ceux de Rodez et plusieurs autres. Finalement, son origine du chef paternel des seigneurs d’Anduze, marquis de Gothie et ducs de Septimanie.


    Page 2:

    Pour éviter la confusion de cette généalogie, il faut la réduire en trois articles séparés. Le premier sera pour expliquer l’origine de la Maison de Roquefeuil de son chef paternel qui sera celle de la Maison d’Anduze. Le nom de Roquefeuil n’ayant été pris que par Bertrand d’Anduze, époux d’Adélaïs de Roquefeuil, héritière qui l’obligea à prendre son nom et ses armes.

    Le second sera pour expliquer ses alliances avec la Maison de France par Isabeau de Roquefeuil mariée avec Hugues III comte de Rodez, comme aussi celle qu’elle a avec les ducs de Bourgogne par Guillemette de Montpellier, épouse de Raymond de Roquefeuil.

    La troisième sera la filiation des descendants de Raymond de Roquefeuil IIème du nom de ce qu’on en sait de plus remarquable qui regarde seulement les deux branches dont l’une a fini en Marie Gilberte, héritière de Roquefeuil, mariée en premières noces à Gaspard de Coligny, marquis d’Orne et en seconde noces avec Claude,  marquis d’Alègre. De ce premier mariage elle a eu une fille nommée Marie-Isabelle de Coligny, mariée à Noël Eléonor Palatin de Dio, marquis de Montperroux à qui elle a apporté les biens de la Maison de Roquefeuil. La deuxième branche de la Maison qui subsiste encore est établie en Rouergue sous le nom des seigneurs du Bousquet, Padiès, Cocural, Brennac.


    Page 3:

    Généalogie

    des anciens seigneurs d’Anduze desquels Raymond de Roquefeuil Ier du nom de la seconde race de la Maison de Roquefeuil descend par Bertrand d’Anduze son père et Adalaÿs de Roquefeuil sa mère.

    Il est bien prouvé que Raymond de Roquefeuil Ier du nom de la deuxième race de Roquefeuil était fils de Bertrand d’Anduze et d’Adalaÿs de Roquefeuil par le contrat de mariage dudit Raymond de 1169 et par la quittance que ledit Raymond de Roquefeuil époux de Guillemette de Montpellier, fille de Mathilde (ndlr: de Bourgogne )


    Page 4:

    duchesse fit au mois d’octobre 1200.

    Bertrand d’Anduze était époux d’Adalaÿs de Roquefeuil ainsi qu’il se vérifie par deux actes qui sont dans les archives de la Trésorerie de Montauban des années 1182 et 1184 qui la qualifie veuve en langue vulgaire que fit moulier de Bertrand d’Anduze. Il était frère de Bernard VIII d’Anduze, de Sonne et autres places qui a fait diverses branches.

    Bernard d’Anduze, dit Vieil, VIIème du nom, signa en 1125 le traité de paix entre le comte de Toulouse et le comte de Barcelone ainsi qu’il se vérifie à la page 263 dans l’Histoire des comtes de Toulouse de Catel.

    En 1129 fut présent au contrat de mariage de Guillaume seigneur de Montpellier avec Sibille. Il était frère de Remond d’Anduze qui du chef d’Armangarde sa femme fut vicomte de Narbonne mort sans enfants.

    Bernard, seigneur d’Anduze, Vème du


    Page 5:

    nom était frère utérin de Guillaume seigneur de Montpellier fils d’Hermangarde ainsi qu’il se vérifie par le testament de (…??…illisible: NDLR) par lequel il lui fait un don et a ses enfants qui est au feuillet 91 du Ier tome des seigneurs de Montpellier ci-devant cité et au feuillet 243 du registre coté lettre D des archives de l’évêché de Montpellier.

    Il était frère de Bertrand d’Anduze ainsi qu’il en a fait foi au feuillet 2eme (…??…illisible: NDLR) cartulaire de Saint Guilhem le Désert.

    Raymond seigneur d’Anduze, fils d’Adalaÿs de Mandagot époux d’Ermengarde donna en 1077, conjointement avec Bernard son père, marquis, et Adalaÿs sa mère ce qu’ils avaient dépendant du chateau de Meirueis à l’abbaye de Selan dont l’acte est au feuillet 62. 2ème d’un cartulaire de Saint Guilhem le Désert.

    Bernard IVème du nom fils d’Eustorga époux d’Adalaÿs de Mandagot, marquis, chef de la branche d’Anduze dans laquelle le nom de Bernard a été comme héréditaire en mémoire de Bernard, duc de Septimanie et de Bernard, marquis de Gothie, desquels ils sont issus, nom qui fut donné même à la monnaie que les


    Page 6:

    seigneurs de cette Maison ont fait battre qu’on appelait « Bernardoise », qui faisaient des statuts et coutumes entre autres pour la ville d’Anduze et pays Anduzien en l’année 1217, que Bernard fit des constitutions pour l’administration de la Justice, rémissions des crimes, successions entre parents, testaments,  mariages et que dans les choses où ils n’en auraient pas que ce droit écrit serait observé, ce que les seigneurs ordinaires n’auraient eu garde de faire, et ce que celui-ci n’aurait pas fait s’il n’eut eu ce droit par ses ancêtres qui étaient souverains, scellées de son sceau en plomb représenté à cheval, armé, son casque en tête, tenant une épée nue et haute à la main avec son nom autour dudit sceau, ainsi qu’il en fit en 1216 pour Alès qui sont dans les archives de ladite Ville, dans le livre de ses statuts, et de même à Sommières.

    Bernard, fils de Garsinde, seigneur d’Anduze, de Sauve, d’Uzès et de Sommières, époux d’Eustorge, fille de Raymond vicomte de Narbonne.


    Page 7:

    et de Ricarde sa femme.

    Rendit hommage pour une place appelée Isguarn au vicomté de Narbonne ainsi que Mr. Catalan fait foi aux feuillet 580, liure 14 de ses mémoires de l’Histoire du Languedoc.

    Il était frère de Frotaim, évêque de Nîmes en 1010.

    De Frodolus, évêque du Puy ainsi que de Mrs de Sainte Marte et Catel dans son livre des évêques du Puy le rapportent de Géraldus, évêque de Nîmes qui succéda à Frotaim son frêre.

    D’Almerade et de Remond.

    Bernard, marquis d’Anduze IIIème du nom, seigneur de Sauve, d’Uzès et de Sommières, époux de Gersinde, fils de Pons, comte de Toulouse vivait en 980.

    En 1024, conjointement avec Gersinde, sa femme, et leurs enfants, évêques susnommés, firent don à l’évêché de Nîmes en 1024 qui est dans un livre intitulé Liber


    Page 8:

    honorum capituli.

    Il fut aussi marié avec Ermengarde qui devait être sa première femme suivant un acte d’un cartulaire de Saint Guilhem le Désert au feuillet 62.

    Il était frère d’Estienne Bermond seigneur de Sommières et de Pierre, seigneur d’Uzès.

    Bermond, seigneur d’Anduze, de Sauve, de Sommières et d’Uzès est signé en qualité de témoin dans le cartulaire de l’église de Nîmes intitulé comme est dit ci-dessus de l’année 941.

    Il bâtit à Uzès la tour qui y subsiste, appelée « Bermonde ». Celle qui est encore à Sommières qui porte le même nom. De lui sont issues trois branches.

    La première est celle des seigneurs d’Anduze et de Sauve par Bernard.

    La 2ème, celle d’Uzès par Pierre


    Page 9:

    La 3ème, celle des seigneurs de Sommières par Etienne Bermond.

    Pierre, seigneur d’Anduze, de Sauve, d’Uzès et de Sommières vivait en 980.

    Il en est fait mention dans la donation du château de Saint Martial faite par Bernard, évêque de Nîmes, qui y est dénommé « frater Petri Anduciamancis Domini » du 25 février de l’année VII de Louis Doutremur l’an 943 qui est dans ledit cartulaire « Liber Honorum Capituli ».

    Il est fait mention de ce bernard, évêque de Nîmes à la page 980 du livre des mémoires de l’histoire du Languedoc de Catel et dans celle des évêques de France de Sainte Marthe.

    Il y a méprise dans la date de la donation en ce que Bernard qui la fit était mort en 956


    Page 10:

    Mais il n’a pas été le seul de sa maison évêque de Nîmes car il est remarqué par des mémoires que depuis Bernard qui l’était en 940 jusques en 1112, l’évêché de Nîmes avait toujours été dans la maison d’Anduze.

    Bernard IIème du nom, marquis de Gothie, comte d’Autun, naquit à Uzès le 21 avril 841 selon le manuel de Duodena sa mère.

    Il est fait grande mention de sa valeur à la page 56 de l’Histoire des comtes de Toulouse de Castel ainsi que dans les annales de Saint Bertin et dans l’Histoire de France d’Aymon et continue tant sur les mouvements qu’il se donna en 878 et 879 pour la vengeance de la mort de son père.

    Il eu de si puissants


    Page 11:

    ennemis qu’il perdit Autun et tout ce qu’il avait en Bourgogne. Ses descendants ont conservé en Septimanie de ce qu’il y avait avec le droit de souverain dans les places qui leur ont resté, comme il se vérifie par les statuts du pays Anduzien, d’Alès et de Sommières en ce qu’ils y faisaient battre monnaie et, par leurs alliances qui répondent à la grandeur de leur extraction.

    Bernard Ier du nom, duc de Septimanie, fils de Saint Guillaume épousa Duodana le  24 juin 823 ainsi qu’il se vérifie par le manuel qu’elle adressa à Guillaume IIème du nom, comte de Toulouse, son fils aîné, intitulé « Liber manuelis Duidena quem ad filium suum transmisse vovilletnum » dont Catel fait foi aux pages 57 et 61 de l’Histoire


    Page 12:

    des comtes de Toulouse qui est dans la bibliothèque des religieux de l’ordre de Saint Benoît à l’abbaye de la Grâce près de Carcassonne et dont du Tillet dans son recueil des Roys de France fait aussi foy.

    Saint Guillaume, comte de Toulouse, Ier du nom a fondé l’abbaye de Gellone appelée monasterium Gellonense et à présent de son nom Saint Guilhem le désert en mémoire de sa sainteté après des victoires signalées qu’il remporta. Il alla déposer ses armes sur le tombeau de Saint Julien dans l’église de Brioude et s’alla retirer en 806 dans le monastère de Gellone dans dans le diocèse de Lodève où il se fit religieux et y finit saintement ses jours et


    Page 13:

    son corps y gît.

    L’histoire sommaire de Sausa (?) est rapportée à la page 47 du livre I des comtes de Toulouse de Catel.

    La fondation de ladite abbaye est du 19 des calendes (de janvier ?) et de l’année 34 du règne de Charlemagne et la 4ème de son empire dans laquelle il est fait mention de ses parents et, entre autres de Bernard son fils. L’original en parchemin est au monastère de Saint Guilhem le Désert.

    Cet acte vérifie l’erreur qui est à la page 10 du 4ème volume de Moreri, imprimé en 1699, en ce qu’il y est dit à l’article de Narbonne (Guaimeri ?) investi par Charlemagne du titre de comte de Narbonne, était père de Guillaume, qui le fut aussi, qui est celui qui a fondé l’abbaye


    Page 14:

    de Saint Guilhem le Désert.

    Cet acte porte que Théodoric était père de guillaume et qu’Aldane était sa mère.

    Et la page 571 du même volume de Moreri confirme après Ezinard  la charte de Sainte Marie Dorbieu.

    Et l’Histoire des saints de l’ordre de Saint Benoît à l’article de Théodoric que Théodoric, comte d’Autun et duc de Bourgogne était son père et Aldane sa mère.


    Page 15:

    Preuve que la seconde race de la Maison de Roquefeuil descend par Mahaut de Bourgogne, mère de Guillemette de Montpellier épouse de Raymond de Roquefeuil Ier du nom, de Robert de France duc de Bourgogne fils puiné de Robert, roi de France qui l’était du roi Hugues Capet

    suivant la généalogie rapportée dans l’Histoire de la Maison d’Auvergne de Justel à la page 224.

    Dans celle de la Maison de France par Sainte Marthe de la 3ème édition.

    Dans celle des deux de Bourgogne de Duchesne.

    Dans celle de David Blondel intitulé « Genealogia Franceia », de Moreri.

    Par ou se vérifie l’erreur que Marie de Montpellier épouse Pierre roi d’Arago fut fille de la duchesse Mathilde, fille d’Emmanuel empereur de Constantinople suivant ce qui est contenu dans le 4ème livre des mémoires de l’Histoire du Languedoc de Catel ou ou il est dit à la page 663 et 668 que le fils de Guillaume de Montpellier fils de Sibille fur marié avec la duchesse Mathilde, fille de Manuel Empereur de Constatinople car il est certain que cette Mathilde duchesse était fille de Hugues II duc de Bourgogne, de la Maison Royale de France, ainsi qu’il se prouve encore par la quittance  que tant Raymond de Roquefeuil que Guillemette de Montpellier son épouse firent à Guillaume seigneur de Montpellier, IVème du nom, fils de Mathilde duchesse au mois d’octobre 1200 au feuillet 81 du registre de l’Hôtel de Ville de Montpellier.

    Chapitre IX page 224 de l’Histoire de la Maison d’Auvergne:


     

    Page 16:

    Robert de France, Ier du nom, duc de Bourgogne,

    fils de Robert, roy de France. Helix de Semur son épouse.

    Henry de Bourgogne, mort avant son père Robert. Sibille de Bourgogne

    fille de Remont comte de Bourgogne et d’Helix de Normandie.

    Eudes Ier Duc de Bourgogne. Mathilde.

    Hugues IIème du nom, duc de Bourgogne. Mathilde de Turenne.

    Mahaut de Bourgogne mariée à Guillaume, seigneur de Montpellier.

    Guillemette de Montpellier mariée à Raymond de Roquefeuil Ier du nom,

    fils de Bertrand d’Anduze et d’Adalaÿs de Roquefeuil,

    seigneur de la deuxième race de la Maison de Roquefeuil.

  • 15 janvier 2015 – Félix le Manager ou l’art du management expliqué par Max de Roquefeuil.

     

    Max de Roquefeuil

    « Je n’arrive pas à concevoir une façon de manager sans affectif ! » affirme Max de Roquefeuil.

    Max de Roquefeuil, directeur général de l’organisme de formation Proméo (en Picardie) vient de publier « Félix le manager », une fiction dans laquelle il dévoile ses astuces pour faciliter la vie de chacun en entreprise.

    « Ce livre, c’est un projet personnel, que j’ai écrit pendant mes vacances, parce que je suis passionné par le management. » nous confie Max de Roquefeuil, le directeur général de Proméo — organisme spécialisé dans la formation des jeunes en alternance et la formation continue des salariés et des dirigeants d’entreprise — en Picardie.

    Notre cousin Max vient de publier, aux éditions Mareuil, son premier ouvrage, « Félix le manager ». Une fiction racontant les découvertes d’un jeune manager qui prend ses fonctions et se trouve confronté à toute une série de situations et de problématiques.

    « Ce n’est pas un livre doctoral sur le management, prévient Max de Roquefeuil. La plupart sont très techniques et l’on n’y comprend rien! Ce livre est plutôt fondé sur mon expérience, des anecdotes que j’ai vécues, des témoignages et les contacts que j’ai au quotidien avec des managers, des formateurs. A Proméo, je dirige une équipe de 500 personnes et je crois avoir accumulé une réelle expérience dans ce domaine. »

    Divisé en dix chapitres thématiques, l’ouvrage recense les écueils que peut rencontrer un manager et chaque partie se conclut par des conseils et astuces pour surmonter ces difficultés.

    « C’est surtout un livre qui s’adresse à tous, et pas seulement aux managers ou chefs d’entreprise, insiste l’auteur. Le management, c’est d’abord une question de bon sens et c’est ce que j’essaye de rappeler. Beaucoup d’experts du sujet considèrent qu’il ne faut pas mêler l’affectif à la conduite d’une entreprise. Pour ma part, je n’arrive pas à concevoir une façon de manager sans affectif! De toute façon, pour moi, le management n’est pas une science exacte, on en apprend chaque jour davantage. »

    Un livre vraiment rafraîchissant pour tous les dirigeants et les managers confirmés, enthousiasmant pour tous les étudiants ou futurs managers et riche d’enseignements pour chaque salarié qui vise une meilleure relation avec son responsable direct.Couverture livre Felix le manager de Max de Roquefeuil

    Références et description de l’ouvrage:

    • Broché: 238 pages
    • Editeur : MAREUIL EDITIONS (15 janvier 2015)
    • Collection : SCIENCES HUMAIN
    • Langue : Français
    • ISBN-10: 2372540009
    • ISBN-13: 978-2372540001
    • Dimensions du livre: 21 x 2 x 11 cm

    Bouton Commander le livre -Felix manager

     

  • 27 Août 2011: Jean-Melchior II de Roquefeuil en Louisiane avec les Cincinnati.

     

     

     

     

     

    Jean-Melchior de Roquefeuil et du Bousquet avec le Président général de la Société des Cincinnati

    Jean Melchior (II) de Roquefeuil reçu au New Orleans Country Club par l’amiral Skid Masterson, président général des Cincinnati

    et par Scott Monsted, président de l’association Cincinnati de Louisiane et sa femme Mme Mary Monsted

     

     

    L’évènement fait l’objet d’un article dans la presse locale le Times-Picayune:

    The Times Picayune 27 aout 2011 JM2 de Roquefeuil et du Bousquet